Récits sur l’Empire Eternel

«Ne circulait plus dans ma poitrine qu’un instinct de survie que je ne pensai posséder. Je ne voulais plus vivre. Mais tout mon corps me poussait à réussir, à vaincre. A gagner ce jeu cruel dans lequel je n’avais pas même voulu m’élancer. »

« Nul corps, juste les bâtisses noircies, leurs toits effondrés, comme crevés par une quelconque force céleste. Et le silence.
Le silence, pesant, l’accompagnait, la cendre étouffant jusqu’au bruit de ses propres pas. »

« Il leva les yeux vers le ciel pour ne distinguer qu’un noir profond et oppressant tandis que tout autour de lui n’était que silence. »

« Tu marches, sans vie, comme un spectre dans ce monde déchiré. quel sort pitoyable, mais laisse-moi te conter une vérité que même les morts-vivants comme toi peuvent comprendre. »